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INCIDENTS DU SAMEDI 02 A MARIUS NDIAYE: Lecture analytique d’Amadou Latyr Ndour, expert en services de sécurité et ancien membre du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale(Gign).

Amadou Latyr Ndour est un Sénégalais qui vit aux Etats-Unis d’Amérique où il a eu à suivre plusieurs formations relatives aux services de sécurité et à la gestion de crise . Il a longtemps fréquenté Marius Ndiaye( dans le cadre du service ou juste pour regarder le basket). Aujourd'hui nous nous sommes approché de lui pour une analyse des évenements de samedi dernier . En mon sens, il s'agit plus qu'un simple fait, il est question de la sécurités des biens et des personnes dans les lieux publics.




INCIDENTS DU SAMEDI 02 A MARIUS NDIAYE: Lecture analytique d’Amadou Latyr Ndour, expert en services de sécurité et ancien membre du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale(Gign).
SENEBASKET: Merci Monsieur Ndour de nous avoir accordé cet entretien. Je précise que vous êtes un ancien de la Gendarmerie nationale qui a eu l’honneur d’appartenir au corps d’élite du Gign, vous êtes aujourd'hui expert sécurité. Dites-nous que vous inspirent les évenements de Samedi au Stadium Marius Ndiaye?

AMADOU LATYR NDOUR: L'on a assiste avant hier au stade marius ndiaye a des scenes extremement graves de par la nature des actions,mais desolante pour un pays comme le senegal.un stade fumant de grenades lacrymogenes,des jeunes basketteuses en transe surprises par le choc de l'action et un public courant en tous sens.Devant une telle scene nous avons l'obligation de situer les responsabilites. je le répete, il est nécessaire et obligatoire de renforcer la formations des agents de sécurité sur les tâches importantes et sérieuses qui les attendent.

SENEBASKET : Quels sont les facteurs explicatifs de telles situations?

AMADOU LATYR NDOUR:Un evenement quel qu'en soit la nature ou l'enjeu doit faire l'objet d'une planification et pour ce cas precis nous parlons de la securite des personnes.Cela nous renvoie a la question de savoir ce qui a ete fait ou pas?ou mieux meme qu'est ce qui se fait d'habitude?je crois qu'il est temps de prendre nos responsabilites devant de tels actes mettant en danger la vie d'innocents spéctateurs et même des compétiteurs.

 SENEBASKET: Marius Ndiaye n'est pas une zone inconnue pour vous, Qu'est ce qu'il faut pour que des vies ne soient plus en danger?

 AMADOU LATYR NDOUR:un stadium comme Marius Ndiaye devrait faire l'objet d'un audit securitaire prenant en compte tous les risques lies a l'organisation d'evenements dans ces lieux .C'est dire, voir en détail comment a ete concu le stade. De par sa construction, prevoir des issues de secours dans de pareils situations... y'avait t'il une plannifcation pouvant prendre en compte un service medical au stade pour prendre en charge l'ensemble des personnes qui étaient exposes aux blessures et accidents. Avoir un plan d'actions detaille nous permet d'avoir les hommes qu'ils faut,l'equipement et les locaux.Malheureusement tout cela n'as ete le cas et ne l'a jamais ete à Marius Ndiaye, sinon on ne pourrait comprendre que des agents de securite en arrivent a creer une parfaite insecurite.

SENEBASKET: Voulez vous nous dire qu'aller à Marius Ndiaye c'est risquer sa vie?

 AMADOU LATYR NDOUR:Ce que je peux vous dire c'est que: les grandes catastrophes ont toujours lancees des signaux precurseurs. Malheureusement nous les avons toujours ignoré,les exemples n'en finissent pas , mais pour ce cas bien precis nous avons l'obligation d'en tirer les consequences et qu'a l'avenir l'on puisse savoir qu'est ce qui doit etre fait ?et qui doit le faire?

 SENEBASKET: Monsieur NDOUR, Nous vous remercions d'avoir accepté notre invitation, Senebasket vous remercie.

Article rédigé par Gelwaar Dione le Lundi 4 Mai 2009


Gelwaar Dione


1.Posté par MAKHTAR ( TARMA ) fan's number 1 d'AICHA le 04/05/2009 12:24
Vrément au SENEGAL on verra du tout , un seul fermé ou l'on tire des lacrymogénes! c pas normale . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOYE NA WARE!!!!!!!!!

2.Posté par MAKHTAR ( TARMA ) fan's number 1 d'AICHA le 04/05/2009 12:26
Vrément au SENEGAL on verra du tout , une salle fermée ou l'on tire des lacrymogénes! c pas normale . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOYE NA WARE!!!!!!!!!



3.Posté par sentinelle le 04/05/2009 17:52
a la place dé GMI, monsieur n'dour tu ferais la même chose soyons sérieux. quand toute foule excitée vous attaque en vous jetant tout objet ki se trouve entre leurs mains, le reflexe de toute personne se trouvant à leurs places sé de se défendre avec lé moyens du bord surtout kils nété pa nombreux.
et pwi on é dans kél pays? dison la vérité, cé supporters de ouakam doivent étre sanctionné. ils sément le bordel dans le stade et vous lé défendé donc vous aussi vous incité lé sénégalais à enfreindre l'exercice des services de l'ordre et vous n voulé pa kils ne répressionnent. kél paradoxe.
surtout vous oublié k on né dans un état de droit où chak individu a cé droits et devoirs; et le devoir de chacun est de respecté son vis à vis car la liberté de chacun s'arréte là où commence celle de l'otre. donc expliké moi l'acte dé supporters de ouakam ki voulé l'otre jour k lé supporters du DUC leur céde leur place sous prétexte k leur ékipe défend la bà.

4.Posté par wak le 04/05/2009 19:09 (depuis mobile)
sentinelle lé suporter ne se sont pas lever d'1 coup pour attaquer les poliers kes ki c passé avnt? É oci c lé supporters du duc ki ont 2mandé au supporter 2 wakam 2 kitté 7 tribune rectif oci es que marius é d

5.Posté par nex le 04/05/2009 19:43
wak, c vraie ke les supporters du Duc ont demandé o supporters de l'uso kitté cett tribune en debut de match et kils avaient finis par accepté grace à lintervention d forces de l'ordre, mais en fin de match on c rendu compte du retoure de kelkes supporters de l'uso sur cette tribune o moment ou lékipe du Duc reprenait lavantage du match ki etait jusk la du coté d ouakamouas! ce ki etait normal de la part d forces de lordre de les demandé de nouveaux à regagner leur place, et ce fut le debut d acharnements de la part d supporters ouakamois. Et suis entièrement daccord avec sentinelle, les policiers n'avaient ke ca comme moyen de décence devant c jets de pierres! surtout ke c supporteres occupaient la portes principal du stade!
suis pas supporters du DUC mais je pense ke ce n'est nullement la faute d forces de l'ordre, kelk soit alpha ils méritent le minimum de respect!

6.Posté par number ten le 04/05/2009 20:01
je pense que monsieur Ndour a raison "Un evenement quel qu'en soit la nature ou l'enjeu doit faire l'objet d'une planification" la fédé doit pouvoir avant de telle rencontres provoquer une réunion avec les differentes parties prenantes. les GMI inclus. le problème majeur, c est qu'un GMI n est pas un stadier.
Ils oublient que leur metier c'est RISER
Renseigner
Informer
Sécuriser
Eduquer
et Reprimer (dernier lieu).
Ce qu'ils font toujours en premier lieu. Cela n excuse en rien le comportement de quelques uns des supporter de Ouakam. Dans tous les pays du Monde, les équipes restent dans les gradins qui leur sont affectés.

"les grandes catastrophes ont toujours lancees des signaux precurseurs." esperons que ce qui s est passé n en est pas un. Halte à la violence. Que la fédé prenne ses responsabilités. un jour ce sera déjà trop tard.

7.Posté par wak le 04/05/2009 20:17 (depuis mobile)
j s8 dakor sur ce fé mé es que le policié avait le droit 2 jeté le tam tam sur le goss pendant k'il obtempéré? É c 2 la k lé otr supporter on reagi oci es que marius ndiaye est délimité? Es qu'il est dit tel supporter tel coté é lotr tel coté? Prkwa c policié d'1 coup 2p8 d'1 coup 2p8 le match contr saint on a cmmencé a quadrillé lé supporter 2 ouakam alor k'avant yav

8.Posté par kheuch le 05/05/2009 01:13
sama khalaat
1. La ligue doi organser des réunions d'avant match, durant lesquelles, toutes les questions notamment celle relative aux tribunes doivent être discutées

2. Le respect stricte des décisions organisationnelles doivent être garanties par des préposés, sous peine pour l'équipe et les supporters fautifs de voir les points du gain du match retirés

3 Les forces de l'ordre doivent apprendre à respecter la dignité humaine des fauteurs de trouble. Une personne interpellée, ne doit pas faire l'objet de sévices corporels, mais doit être sécurisé (Avec Menottes) puis conduite dans la fourgonette en attendant d'etre acheminé au comissariats, sans pour autant que loin des yeux on l'humilie

4. L'organisation doit intervenir en cas de pépin et ne pas fuir ses responsabilités. Dès le début ds échauffourés, les membres de la Ligue devaient jouer les Sapeurs Pompiers et discuter avec les policiers et les inciter à ne pas mettre en danger la vie des autres

5. Si la Police met en danger la vie de centaine de gens, en paniquant , la Ligue et la Fédération doivent officiellement protester par une lettre adressée au ministre de l'intérieur

WA SALAM

9.Posté par sentinelle le 05/05/2009 18:19
number ten cé justement ton riser là k lé policiers ont utilisé. ils ont réprimé en dernier lieu

10.Posté par le film de l'incident le 05/05/2009 19:52
SENTINELLE arrêtes de mentir

SENEGAL-BASKET

Coupe du maire de Dakar : l’intervention des éléments du GMI met fin à la demi-finale DUC-USO

03-05-2009 18:36 GMT

Dakar, 3 mai (APS) - La deuxième demi-finale de la coupe du maire de Dakar qui opposait samedi le Dakar Université club à l’équipe de l’Us Ouakam n’a pas connu son épilogue, la faute au détachement des forces de l’ordre qui ont interrompu la partie au quatrième quart temps en inondant la salle fermée de Marius Ndiaye, de bombes asphyxiantes suites à des incidents dans les travées.

C’est à la suite d’un match très serré, les deux équipes étant en égalité parfaite à la fin du troisième quart temps (38-38) avant que le Duc ne prenne un léger avantage de 2 points (45-47) que les incidents ont éclaté entre la police et les batteurs de tambours de l’Uso qui ont voulu donner de la voix pour leur équipe, en se déplaçant sur la tribune occupée jusque là par le Duc.

Face au danger que pouvait constituer cette cohabitation, un élément du groupement mobile d’intervention interpelle un des batteurs de tam-tam de l’équipe ouakamoise et l’enjoint de quitter la tribune en le tenant au collet.

Ne parvenant à se faire obéir qu’avec beaucoup de difficultés, l’agent de la police le charge et bénéficie de l’apport de ses collègues qui accourent et imposent la force pour le prendre au collet.

C’est ce moment que choisissent les autres supporters de Ouakam pour venir s’interposer et surtout revendiquer plus d’humanité dans l’acte des policiers qui avaient commencé à matraquer le pauvre batteur de tam-tam qui réussira à échapper à leur vigilance sous la poussée des dizaines de supporters.

Voulant alors certainement laver ‘’l’affront’’ qui leur a été faite, les autres éléments des Gmi ruent sur les travées, matraques en l’air, et commencent à bastonner toute personne trouvée sur leur chemin, ne se souciant point de savoir si ces dernières étaient mêlées ou non aux actes de rebellions.

Cette charge de la police crée un tohu-bohu indescriptible. Les supporters venus nombreux pour cette rencontre aux allures de revanche entre le Duc et l’Uso cherchent par tous les moyens à échapper à la furie des policiers.

Alors que l’arbitre venait de mettre un terme à la rencontre suite aux jets de projectiles sur le parquet de Marius Ndiaye, et que les autres supporters des autres tribunes ne revenaient pas de leur surprise et cherchaient coûte que coûte à quitter le stadium, l’incroyable se produisit.

Les policiers se ruent sur leur caisson rempli de grenades lacrymogènes et inondent à tout va les tribunes remplit de spectateurs, créant du coup des scènes de panique où le sauve qui peut a créé des bousculades, des sauts dangereux du côté des supporters qui pour se soustraire à cette atmosphère suffocante, rejoignent le parquet en sautant des tribunes pour ensuite se diriger vers les vestiaires.

Les portes d’entrée était submergées de monde. La grande porte qui jouxtent les vestiaires étant cadenassée, et les policiers continuait sans se soucier de l’aspect fermé de l’environnement à dégoupiller des grenades. Plusieurs cas d’évanouissement et de suffocations sont notés. La plupart des jeunes joueuses de l’Asfo asthmatiques qui subiront tous des crises aiguës.

Pour rajouter à cette ambiance de danger, les forces de l’ordre qui ne voulaient pas que l’on immortalise leurs actes, intiment l’ordre au photographe du journal Le Populaire de leur restituer la carte mémoire de son appareil qu’ils finiront par confisquer après de fortes menaces.

C’est ainsi que, le match qui était à l’avantage du Duc qui menait de deux points (45-47) fut interrompu, au grand dam de nombreux supporters traumatisés par tant de violence et de manque de maitrise de la part des forces de l’ordre. Ils n’ont pas suivi les différentes demandes de policiers en civile de ‘’garder (leur) sérénité’’.


ABK/ADC

11.Posté par nex le 05/05/2009 20:01
film de l'incident boul sathie film bi yaw tamite!!
oubien t supporter de l'USO, coz je ne voit pas ou tas parler d jet de pierres et de bouteilles d'eau d supporters ouakamois??? ce ki est à l'origine bien sure du jet de gaz lacrymogène.

12.Posté par MAKHTAR ( TARMA ) fan's number one d'AICHA le 05/05/2009 22:14
film ya 1 partie ki manke wala partie bobou dafa lake . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOY NA WAARE !!!!!!!!!!!!!!

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