Vous avez été convoqué pour le regroupement de l’équipe nationale du Sénégal en vue du mondial. Qu’est-ce que cela vous fait ?
Je suis vraiment honoré de l’estime du coach à mon égard. Il m’a choisi parmi des centaines de jeunes Sénégalais talentueux et s’il m’a fait confiance, je ne peux que l’en remercier et donner tout ce que j’ai pour répondre à ses attentes, en aidant l’équipe à atteindre ses objectifs.
Parlez-nous un peu de vos débuts dans le basket.
J’ai commencé à jouer au basket à l’âge de 11 ans. A cette époque, je pratiquais aussi le football. C’est à 13 ans que j’ai commencé à jouer officiellement au basket. C’est par la suite que j’ai intégré l’école “Babacar Sy Basket School” pour atterrir finalement à la Jeanne d’Arc de Dakar en minime, cadet. Par la suite, je suis allé au Mali pour six mois avec la “Team Adidas”, je suis revenu au Sénégal pour repartir aux Etats-Unis à l’âge de 15 ans. Et là, je joue dans un collège.
Et cela se passe comment ?
Je dirais que cela se passe très bien même. Je joue souvent et mes statistiques sont bonnes. J’ai fini cette année le collège et je pars à l’université l’année prochaine.
Qu’est-ce qui vous a poussé à faire du basket et qui est votre idole dans le milieu ?
En premier, mon grand frère Papis Ndiaye. Il jouait ici à Bopp. Le basket, je le fais par plaisir. Ce jeu me procure un plaisir immense, incomparable. C’est un jeu, je me sens à l’aise dedans. Il y a des gens qui le font pour gagner de l’argent, mais pour moi c’est avant tout un jeu. Tout ce qui suivra ne sera donc que bonus.
Vous avez joué dans l’équipe des U-18 du Sénégal qui a beaucoup fait parler d’elle à cause d’une affaire de fraude.
En fait, cette histoire-là, je n’en sais pas grand-chose. Je ne peux pas parler de ce que je ne maîtrise pas. A cette époque, j’étais au collège aux Etats-Unis. J’en ai entendu parler comme tout le monde, mais je ne veux pas m’épancher sur le sujet.
Le Sénégal ira en Espagne pour le mondial. Pensez-vous que l’équipe ait des chances de sortir de sa poule ?
Bien sûr que nous avons des chances. Dans cette équipe, il y a beaucoup de bons joueurs professionnels qui peuvent rivaliser avec les meilleurs du monde. Je prends les exemples de Gorgui Sy Dieng, Mouhamed Faye, Malèye Ndoye, Pape Abdou Badji… Ce sont des joueurs qui font de bons championnats et ils sont familiers du haut niveau. S’il y a la cohésion dans l’équipe, je pense qu’on pourra faire quelque chose de grand.
Enquete
Je suis vraiment honoré de l’estime du coach à mon égard. Il m’a choisi parmi des centaines de jeunes Sénégalais talentueux et s’il m’a fait confiance, je ne peux que l’en remercier et donner tout ce que j’ai pour répondre à ses attentes, en aidant l’équipe à atteindre ses objectifs.
Parlez-nous un peu de vos débuts dans le basket.
J’ai commencé à jouer au basket à l’âge de 11 ans. A cette époque, je pratiquais aussi le football. C’est à 13 ans que j’ai commencé à jouer officiellement au basket. C’est par la suite que j’ai intégré l’école “Babacar Sy Basket School” pour atterrir finalement à la Jeanne d’Arc de Dakar en minime, cadet. Par la suite, je suis allé au Mali pour six mois avec la “Team Adidas”, je suis revenu au Sénégal pour repartir aux Etats-Unis à l’âge de 15 ans. Et là, je joue dans un collège.
Et cela se passe comment ?
Je dirais que cela se passe très bien même. Je joue souvent et mes statistiques sont bonnes. J’ai fini cette année le collège et je pars à l’université l’année prochaine.
Qu’est-ce qui vous a poussé à faire du basket et qui est votre idole dans le milieu ?
En premier, mon grand frère Papis Ndiaye. Il jouait ici à Bopp. Le basket, je le fais par plaisir. Ce jeu me procure un plaisir immense, incomparable. C’est un jeu, je me sens à l’aise dedans. Il y a des gens qui le font pour gagner de l’argent, mais pour moi c’est avant tout un jeu. Tout ce qui suivra ne sera donc que bonus.
Vous avez joué dans l’équipe des U-18 du Sénégal qui a beaucoup fait parler d’elle à cause d’une affaire de fraude.
En fait, cette histoire-là, je n’en sais pas grand-chose. Je ne peux pas parler de ce que je ne maîtrise pas. A cette époque, j’étais au collège aux Etats-Unis. J’en ai entendu parler comme tout le monde, mais je ne veux pas m’épancher sur le sujet.
Le Sénégal ira en Espagne pour le mondial. Pensez-vous que l’équipe ait des chances de sortir de sa poule ?
Bien sûr que nous avons des chances. Dans cette équipe, il y a beaucoup de bons joueurs professionnels qui peuvent rivaliser avec les meilleurs du monde. Je prends les exemples de Gorgui Sy Dieng, Mouhamed Faye, Malèye Ndoye, Pape Abdou Badji… Ce sont des joueurs qui font de bons championnats et ils sont familiers du haut niveau. S’il y a la cohésion dans l’équipe, je pense qu’on pourra faire quelque chose de grand.
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