Paiement des arrières du Sénégal à la FIBA Afrique
«Nous avons trouvé à Antananarivo des arriérés de 17.000 dollars (7.650.000 FCFA) que devaient les anciens bureaux à la FIBA Afrique qui nous a demandé de payer sinon le Sénégal n’allait pas jouer. Nous nous sommes réunis entre fédéraux pour faire une avance de 5.000 dollars (2.250.000 FCFA) sur les 17.000 afin de sauver la face du Sénégal. Je ne me sentais pas concerné par l’épongeage de cette dette, mais cela allait être ridicule et humiliant pour nous tous. Cependant, le Sénégal doit 12.000 (5.400.000 FCFA) à la FIBA et nous devons payer cette somme avant de fouler le parquet à Bamako, sans quoi nous serons forfaits. Je pense que les gens sont déjà avertis des risques».
Départ avorté de Weisz, son salaire et son avenir
«Alain Weisz a failli quitter l’équipe en pleine compétition, mais nous avons pu trouver les moyens de le retenir en lui payant son salaire, estimé à plus de 10 millions FCFA. À Antananarivo, les membres de la Fédération et la direction technique nationale ont dû se cotiser pour pallier les questions de primes des joueurs et autres problèmes internes. En ce qui concerne l’avenir d’Alain Weisz à la tête de cette équipe nationale, il faudra prendre en compte un certain nombre de problèmes comme les finances du ministère des Sports qui est à l’agonie. Mais, la fédération a en tête une idée et elle va tout faire pour la concrétiser».
Le ministère des Sports nous doit 30.000 euros (19.500.000 CFA)
«Je tiens à rappeler aux gens que je ne suis pas le bailleur du ministère des Sports. Il me doit 20.000 euros (13.000.000 CFA) pour toutes les dépenses effectuées durant cette campagne. Á cela, il faut ajouter les 10.000 euros (6.500.000 CFA) de Mathieu Faye qui m’a épaulé dans les dépenses. Cette fois-ci ce n’est pas à nous de rendre des comptes, mais c’est au ministère des Sports de le faire».
La reconstruction du basket-ball national
«La campagne malgache nous a ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Elle nous a permis de jeter les bases de la reconstruction du basket-ball national avec ce groupe qui est né à Antananarivo. De ce fait, nous allons nous organiser de telle sorte à avoir des regroupements tous les 6 mois et faire une bonne planification afin d’éviter les préparations escamotées. Nous allons faire comprendre aussi aux joueurs que jouer en équipe nationale est une fierté et non une affaire d’argent. J’en ai même parlé à Saër Sène qui est venu me voir il y a deux jours dans mon bureau. Nous nous sommes entretenus et il ne reste qu’à régler certains détails pour son retour».
«Nous avons trouvé à Antananarivo des arriérés de 17.000 dollars (7.650.000 FCFA) que devaient les anciens bureaux à la FIBA Afrique qui nous a demandé de payer sinon le Sénégal n’allait pas jouer. Nous nous sommes réunis entre fédéraux pour faire une avance de 5.000 dollars (2.250.000 FCFA) sur les 17.000 afin de sauver la face du Sénégal. Je ne me sentais pas concerné par l’épongeage de cette dette, mais cela allait être ridicule et humiliant pour nous tous. Cependant, le Sénégal doit 12.000 (5.400.000 FCFA) à la FIBA et nous devons payer cette somme avant de fouler le parquet à Bamako, sans quoi nous serons forfaits. Je pense que les gens sont déjà avertis des risques».
Départ avorté de Weisz, son salaire et son avenir
«Alain Weisz a failli quitter l’équipe en pleine compétition, mais nous avons pu trouver les moyens de le retenir en lui payant son salaire, estimé à plus de 10 millions FCFA. À Antananarivo, les membres de la Fédération et la direction technique nationale ont dû se cotiser pour pallier les questions de primes des joueurs et autres problèmes internes. En ce qui concerne l’avenir d’Alain Weisz à la tête de cette équipe nationale, il faudra prendre en compte un certain nombre de problèmes comme les finances du ministère des Sports qui est à l’agonie. Mais, la fédération a en tête une idée et elle va tout faire pour la concrétiser».
Le ministère des Sports nous doit 30.000 euros (19.500.000 CFA)
«Je tiens à rappeler aux gens que je ne suis pas le bailleur du ministère des Sports. Il me doit 20.000 euros (13.000.000 CFA) pour toutes les dépenses effectuées durant cette campagne. Á cela, il faut ajouter les 10.000 euros (6.500.000 CFA) de Mathieu Faye qui m’a épaulé dans les dépenses. Cette fois-ci ce n’est pas à nous de rendre des comptes, mais c’est au ministère des Sports de le faire».
La reconstruction du basket-ball national
«La campagne malgache nous a ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Elle nous a permis de jeter les bases de la reconstruction du basket-ball national avec ce groupe qui est né à Antananarivo. De ce fait, nous allons nous organiser de telle sorte à avoir des regroupements tous les 6 mois et faire une bonne planification afin d’éviter les préparations escamotées. Nous allons faire comprendre aussi aux joueurs que jouer en équipe nationale est une fierté et non une affaire d’argent. J’en ai même parlé à Saër Sène qui est venu me voir il y a deux jours dans mon bureau. Nous nous sommes entretenus et il ne reste qu’à régler certains détails pour son retour».