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Cheikh Sarr, coach du Sénégal
«Retenir la réaction du collectif»
«C’est toujours difficile de jouer les premiers matches. On a fait une mauvaise entame. On a eu du mal à asseoir notre jeu dans le premier quart temps. Ce n’est pas facile de jouer contre les équipes lusophones qui ont un jeu large avec des shoots extérieurs. Il a fallu réorganiser la défense et cela a fini par marcher. C’était une bonne chose de jouer contre une équipe comme le Cap Vert qui a quasiment le même jeu que l’Angola, notre prochain adversaire en Coupe d’Afrique. L’entrée de Ibrahima Mbengue nous a aidés dans la percussion. C’est une bonne chose. Mais il faut surtout retenir la réaction du collectif. Dans le jeu, nous cherchons à scorer au moins 20 points par quart temps et en prendre la moitié. Mais, on s’est rendu compte que le secteur offensif du Cap Vert était très bon. On continue la préparation. On va continuer à peaufiner le groupe.»
Magalhaes Luis, coach du Cap Vert
«L’impact physique de l’équipe sénégalaise a fait la différence»
«C’était notre premier match, après trois semaines de préparation. On est arrivé à 3 heures du matin. Le Sénégal a une équipe qui est physiquement plus compétitive que nous. Elle nous a causé beaucoup de difficultés dans ce domaine, surtout dans le jeu intérieur où on a été inexistants aux rebonds. L’impact physique de l’équipe sénégalaise a fait la différence. On a encore deux autres matchs à jouer. On va continuer à travailler afin d’être prêt lors de la phase finale.»
«Retenir la réaction du collectif»
«C’est toujours difficile de jouer les premiers matches. On a fait une mauvaise entame. On a eu du mal à asseoir notre jeu dans le premier quart temps. Ce n’est pas facile de jouer contre les équipes lusophones qui ont un jeu large avec des shoots extérieurs. Il a fallu réorganiser la défense et cela a fini par marcher. C’était une bonne chose de jouer contre une équipe comme le Cap Vert qui a quasiment le même jeu que l’Angola, notre prochain adversaire en Coupe d’Afrique. L’entrée de Ibrahima Mbengue nous a aidés dans la percussion. C’est une bonne chose. Mais il faut surtout retenir la réaction du collectif. Dans le jeu, nous cherchons à scorer au moins 20 points par quart temps et en prendre la moitié. Mais, on s’est rendu compte que le secteur offensif du Cap Vert était très bon. On continue la préparation. On va continuer à peaufiner le groupe.»
Magalhaes Luis, coach du Cap Vert
«L’impact physique de l’équipe sénégalaise a fait la différence»
«C’était notre premier match, après trois semaines de préparation. On est arrivé à 3 heures du matin. Le Sénégal a une équipe qui est physiquement plus compétitive que nous. Elle nous a causé beaucoup de difficultés dans ce domaine, surtout dans le jeu intérieur où on a été inexistants aux rebonds. L’impact physique de l’équipe sénégalaise a fait la différence. On a encore deux autres matchs à jouer. On va continuer à travailler afin d’être prêt lors de la phase finale.»
Malèye Ndoye: “Il y a des joueurs qui ont du mal à accepter le leadership de Gorgui Sy Dieng”
